La Mort ! qu'est ce que la mort ?

La Mort

On naît, on grandit, persuadés que le monde nous appartient. Puis, confrontés aux autres, on apprend que l'on n'est pas le plus rapide, le plus fort, ni le plus beau.

Autour de la mort il y a l’incompréhension, on la rejette, elle fait peur, la Mort est triste, fait souffrir, nous ne savons plus à quoi elle ressemble, nous ne savons plus comment nous comporter. Ensuite vient le temps où l'on arrête de grandir pour commencer à vieillir. Progressivement, on intègre le fait qu'en plus d'être imparfaits, nous sommes éphémères.

La Mort est -elle rationnelle ou irrationnelle ?

Croire qu’il y a une Vie après la mort et que l’au-delà existe ? ben moi ! je crois, je m’accroche à ça.

Je m’accroche car je sais qu’il y a une Vie après, comme vous la savez j’ai la capacité de voir et entendre, donc ce qui veut dire que je communique avec les défunts, quand ils viennent me voir lors d’une séance ils me disent qu’ils sont bien, qu’ils ne souffrent plus, qu’ils sont toujours avec nous.

Ils sont là avec nous de l’autre coter, ils nous aident, ils nous accueilleront le fameux jour de notre Mort, ce jour où notre Âme quittera notre enveloppe.

Et que dire aussi à tous ceux que leur propre mort terrorise ? Comment les convaincre qu'elle n'est que le passage d'une courte vie terrestre semée d'embûches.

La mort n'est pas une punition mais une délivrance. Elle ne ferme pas la porte de la vie, elle l'ouvre toute grande.

Elle n'est pas un anéantissement mais une renaissance.
Lorsqu'elle frappe à la porte, cette mort-délivrance, pourquoi tant de gens réagissent-ils à contresens ? Ils pleurent, alors que l'absent se réjouit. Ils vont fleurir une tombe sous laquelle il n'y a personne. Ils s'emmurent dans un silence désespéré alors que les fanfares du ciel accueillent un bienheureux…

L’amour ne disparaît jamais.
La mort n’est rien !
Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté.
Je suis moi, tu es toi ; ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné, parle-moi comme tu l’as toujours fait, n’emploie pas un ton différent, ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Souris, pense à moi, prie pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été, sans emphase d’aucune sorte, sans une trace d’ombre.
La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié, elle est ce qu’elle a toujours été : le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée simplement parce que je suis hors de ta vie ?
Je t’attends…
Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin.
Tu vois, tout est bien

Voilà mes amis je vous dis à bientôt de me lire et n’hésite pas à me faire pas de vos impressions.

A bientot